#虚拟资产监管 En voyant cet avis de risque de garde de la SEC, ce qui m’a traversé l’esprit n’était pas la tendance réglementaire actuelle, mais plutôt ces nombreux cas sanglants que nous avons vécus au fil des années.
L’effondrement de Mt.Gox en 2014, la faillite de FTX en 2022 — chaque fois, c’était la même histoire : perte de la clé privée, détournement par la plateforme, zéro en une nuit. Je me souviens encore du désespoir de ces jeunes investisseurs. Donc, cet avertissement revient en fait à rattraper un cours qui aurait dû être donné il y a dix ans.
Ce qui est intéressant, c’est que la posture de la SEC a changé cette fois. Elle ne se contente plus de bannir, mais enseigne aux investisseurs particuliers comment choisir — l’équilibre entre la commodité et le risque des portefeuilles chauds, le compromis entre sécurité et facilité d’utilisation des portefeuilles froids, la confiance dans la garde par des tiers. Cette attitude pragmatique, je ne l’avais jamais vue à l’ère Gensler.
Plus important encore, c’est le changement de contexte global : on passe d’une priorité d’application de la loi à la construction d’un cadre, l’OCC ayant approuvé cinq sociétés de cryptographie pour devenir des banques de fiducie nationales, le DTCC expérimentant la tokenisation de dettes — tous ces signaux pointent dans la même direction : les actifs cryptographiques sont en train d’être intégrés dans le système financier traditionnel. C’est une reconnaissance au niveau institutionnel, pas un simple balancement de politique à court terme.
Mais je vais être honnête : au cours des dix dernières années, ce ne sont pas toujours ceux qui suivent la tendance qui ont gagné le plus d’argent, mais ceux qui comprennent profondément les risques. Même la meilleure recommandation actuelle ne vaut pas la peine d’être suivie si on ne l’a pas déjà expérimentée soi-même. L’amélioration de la réglementation est une bonne chose à long terme, mais la vérification de la sécurité personnelle doit toujours passer en premier. Ce principe n’a jamais changé depuis 2011 jusqu’à aujourd’hui.
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#虚拟资产监管 En voyant cet avis de risque de garde de la SEC, ce qui m’a traversé l’esprit n’était pas la tendance réglementaire actuelle, mais plutôt ces nombreux cas sanglants que nous avons vécus au fil des années.
L’effondrement de Mt.Gox en 2014, la faillite de FTX en 2022 — chaque fois, c’était la même histoire : perte de la clé privée, détournement par la plateforme, zéro en une nuit. Je me souviens encore du désespoir de ces jeunes investisseurs. Donc, cet avertissement revient en fait à rattraper un cours qui aurait dû être donné il y a dix ans.
Ce qui est intéressant, c’est que la posture de la SEC a changé cette fois. Elle ne se contente plus de bannir, mais enseigne aux investisseurs particuliers comment choisir — l’équilibre entre la commodité et le risque des portefeuilles chauds, le compromis entre sécurité et facilité d’utilisation des portefeuilles froids, la confiance dans la garde par des tiers. Cette attitude pragmatique, je ne l’avais jamais vue à l’ère Gensler.
Plus important encore, c’est le changement de contexte global : on passe d’une priorité d’application de la loi à la construction d’un cadre, l’OCC ayant approuvé cinq sociétés de cryptographie pour devenir des banques de fiducie nationales, le DTCC expérimentant la tokenisation de dettes — tous ces signaux pointent dans la même direction : les actifs cryptographiques sont en train d’être intégrés dans le système financier traditionnel. C’est une reconnaissance au niveau institutionnel, pas un simple balancement de politique à court terme.
Mais je vais être honnête : au cours des dix dernières années, ce ne sont pas toujours ceux qui suivent la tendance qui ont gagné le plus d’argent, mais ceux qui comprennent profondément les risques. Même la meilleure recommandation actuelle ne vaut pas la peine d’être suivie si on ne l’a pas déjà expérimentée soi-même. L’amélioration de la réglementation est une bonne chose à long terme, mais la vérification de la sécurité personnelle doit toujours passer en premier. Ce principe n’a jamais changé depuis 2011 jusqu’à aujourd’hui.