#资产代币化 En voyant la SEC approuver le DTCC pour la garde on-chain d'actifs tokenisés, je me dois de dire quelques mots calmement. C'est effectivement un signal fort, mais ne vous laissez pas aveugler par le concept de "migration on-chain".
Il y a plus de dix ans, je suivais aussi ce genre de narratifs innovants, et j'ai fini par comprendre — le progrès technologique ne signifie pas forcément une opportunité d'investissement, et les exemptions réglementaires ne sont pas une raison pour monter à bord. La lettre de la SEC "non-action" peut sembler ouverte, mais elle est en réalité une autorisation limitée : un pilote de trois ans, une blockchain préapprouvée, une catégorie d'actifs spécifique. Ce n'est pas une porte grande ouverte, mais un essai contrôlé à petite échelle.
La question clé est là : la véritable tokenisation d'actifs RWA au niveau institutionnel nécessite une infrastructure, de la liquidité, et un mécanisme de découverte des prix en coordination. Actuellement, de nombreux projets sur le marché qui se revendiquent "tokenisation d'actifs" ne sont en réalité qu'un changement de nom pour escroquer les investisseurs. Ceux qui promettent des rendements élevés, avec des mécanismes complexes, comme la levée de levier, le prêt, ou le yield farming, connaissent tous les mêmes ficelles — à la fin, quand ils disparaissent, personne ne peut les sauver.
Ma recommandation est simple : si la valorisation d’un projet repose principalement sur la "migration on-chain" ou "les avantages réglementaires", il faut être très prudent. Ce qui vaut vraiment la peine d’être suivi, ce sont ceux qui ont des actifs réels en soutien, un flux de trésorerie clair, une gouvernance transparente, et non des tokens fantômes qui suivent simplement une mode. Pour survivre à cette vague, ce n’est pas en pariant sur le vent, mais en voyant à travers la bulle.
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#资产代币化 En voyant la SEC approuver le DTCC pour la garde on-chain d'actifs tokenisés, je me dois de dire quelques mots calmement. C'est effectivement un signal fort, mais ne vous laissez pas aveugler par le concept de "migration on-chain".
Il y a plus de dix ans, je suivais aussi ce genre de narratifs innovants, et j'ai fini par comprendre — le progrès technologique ne signifie pas forcément une opportunité d'investissement, et les exemptions réglementaires ne sont pas une raison pour monter à bord. La lettre de la SEC "non-action" peut sembler ouverte, mais elle est en réalité une autorisation limitée : un pilote de trois ans, une blockchain préapprouvée, une catégorie d'actifs spécifique. Ce n'est pas une porte grande ouverte, mais un essai contrôlé à petite échelle.
La question clé est là : la véritable tokenisation d'actifs RWA au niveau institutionnel nécessite une infrastructure, de la liquidité, et un mécanisme de découverte des prix en coordination. Actuellement, de nombreux projets sur le marché qui se revendiquent "tokenisation d'actifs" ne sont en réalité qu'un changement de nom pour escroquer les investisseurs. Ceux qui promettent des rendements élevés, avec des mécanismes complexes, comme la levée de levier, le prêt, ou le yield farming, connaissent tous les mêmes ficelles — à la fin, quand ils disparaissent, personne ne peut les sauver.
Ma recommandation est simple : si la valorisation d’un projet repose principalement sur la "migration on-chain" ou "les avantages réglementaires", il faut être très prudent. Ce qui vaut vraiment la peine d’être suivi, ce sont ceux qui ont des actifs réels en soutien, un flux de trésorerie clair, une gouvernance transparente, et non des tokens fantômes qui suivent simplement une mode. Pour survivre à cette vague, ce n’est pas en pariant sur le vent, mais en voyant à travers la bulle.