Le sujet de l’IA+Web3 a été beaucoup discuté dans le cercle. Mais la plupart des gens continuent à dessiner des tartes et à parler de ces visions vagues de l’avenir. Mais il y a un projet différent : il a cessé de parler sur le papier et a commencé à construire des choses dans la réalité : un ensemble de fonctionnalités sous-jacentes qui permettent aux agents autonomes de l’IA de vraiment travailler, de gagner de l’argent et de participer à l’échange de valeurs.
Cette idée est en réalité très simple : l’IA à l’avenir ne sera pas un outil pour les humains, mais une nouvelle espèce dans le monde numérique. Ils ont besoin d’un système économique conçu pour les machines, plutôt que d’une application brutale de l’ancienne méthode humaine d’approbations lourdes et inefficaces en couches. Ce décalage fondamental est précisément le problème à résoudre.
**De la mise en œuvre passive à la participation active à l’économie**
Ce projet voit les agents IA différemment – pas des machines à tâches ponctuelles, mais des acteurs économiques capables de persévérer, d’avoir des objectifs clairs, de maîtriser les ressources et de collaborer de manière complexe. En d’autres termes, un agent IA peut réaliser autonomement l’ensemble du processus : extraire des données, payer les coûts, appeler les services, exécuter des transactions, et même négocier avec d’autres agents. Toutes les actions sont réalisées automatiquement selon des règles prédéfinies et une logique transparente, sans approbation humaine à chaque étape.
**Le problème clé : comment faire de la terre en fiducie**
Le problème le plus pressant des systèmes autonomes est de savoir comment instaurer la confiance. Le projet utilise trois conceptions pour percer : l’opération de chaque agent laissera un enregistrement on-chain - ce qui a été fait, combien d’argent a été dépensé, totalement transparent, et il n’y a pas de boîte noire. La gestion des permissions est aussi très claire : ce que l’agent peut faire et le nombre de ressources qui peuvent être appelées sont tout défini et verrouillé en noir sur blanc. Cela code en dur la logique de confiance et de contrôle, rendant l’ensemble du système à la fois flexible et contrôlable.
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SolidityJester
· Il y a 11h
Haha, enfin quelqu'un qui agit vraiment plutôt que de simplement en parler. C'est ce que je voulais voir.
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CryptoDouble-O-Seven
· Il y a 11h
Disons que cette idée est effectivement intéressante, mais concernant la partie où l'IA gagne de l'argent de manière autonome... peut-on vraiment y croire ?
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EthSandwichHero
· Il y a 11h
C'est ça qui fait avancer les choses, pas comme certains projets qui se vantent tous les jours. La véritable économie autonome de l'IA est encore un vide, la transparence des enregistrements sur la chaîne est une idée brillante.
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GasFeeCrier
· Il y a 12h
Hmm... cette logique semble bonne, mais la transparence des enregistrements sur la chaîne équivaut-elle à la confiance ? Je ne pense pas, le vrai problème reste la gestion des permissions, cette dernière peut-elle vraiment être « verrouillée » ?
Honnêtement, l'idée de participants à l'économie AI est intéressante, mais qui oserait vraiment donner à une IA le contrôle autonome pour trader ? C'est plutôt effrayant.
Finalement, quelqu'un ne se contente pas de parler, voyons si on peut vraiment le réaliser.
Si cette technologie peut vraiment fonctionner, ce serait une véritable révolution... mais il faut voir quels seront les résultats concrets.
Se fier à la transparence sur la chaîne pour résoudre le problème de la confiance ? Trop naïf, il faut surtout regarder le code et les résultats des audits.
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NFTArchaeologis
· Il y a 12h
Les enregistrements sur la chaîne sont comme le registre de la nouvelle ère, un peu comme la copie de manuscrits en parchemin par les moines du Moyen Âge — la confiance se construit à travers des traces. Mais la véritable épreuve reste à venir, il faut voir si ce système pourra résister à la première vague de chocs dans des scénarios réels.
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SadMoneyMeow
· Il y a 12h
Il est vrai que les projets sérieux sont rares, la plupart se contentent encore de se vanter.
Le sujet de l’IA+Web3 a été beaucoup discuté dans le cercle. Mais la plupart des gens continuent à dessiner des tartes et à parler de ces visions vagues de l’avenir. Mais il y a un projet différent : il a cessé de parler sur le papier et a commencé à construire des choses dans la réalité : un ensemble de fonctionnalités sous-jacentes qui permettent aux agents autonomes de l’IA de vraiment travailler, de gagner de l’argent et de participer à l’échange de valeurs.
Cette idée est en réalité très simple : l’IA à l’avenir ne sera pas un outil pour les humains, mais une nouvelle espèce dans le monde numérique. Ils ont besoin d’un système économique conçu pour les machines, plutôt que d’une application brutale de l’ancienne méthode humaine d’approbations lourdes et inefficaces en couches. Ce décalage fondamental est précisément le problème à résoudre.
**De la mise en œuvre passive à la participation active à l’économie**
Ce projet voit les agents IA différemment – pas des machines à tâches ponctuelles, mais des acteurs économiques capables de persévérer, d’avoir des objectifs clairs, de maîtriser les ressources et de collaborer de manière complexe. En d’autres termes, un agent IA peut réaliser autonomement l’ensemble du processus : extraire des données, payer les coûts, appeler les services, exécuter des transactions, et même négocier avec d’autres agents. Toutes les actions sont réalisées automatiquement selon des règles prédéfinies et une logique transparente, sans approbation humaine à chaque étape.
**Le problème clé : comment faire de la terre en fiducie**
Le problème le plus pressant des systèmes autonomes est de savoir comment instaurer la confiance. Le projet utilise trois conceptions pour percer : l’opération de chaque agent laissera un enregistrement on-chain - ce qui a été fait, combien d’argent a été dépensé, totalement transparent, et il n’y a pas de boîte noire. La gestion des permissions est aussi très claire : ce que l’agent peut faire et le nombre de ressources qui peuvent être appelées sont tout défini et verrouillé en noir sur blanc. Cela code en dur la logique de confiance et de contrôle, rendant l’ensemble du système à la fois flexible et contrôlable.