La confiance peut-elle aussi circuler comme un actif ?

Dans la finance traditionnelle, la confiance est simplement la confiance, elle est figée. Mais dans l'écosystème Web3, les choses commencent à changer — standardiser la confiance, la tokeniser, permettre à la confiance de se transférer et de s’échanger entre différents protocoles et utilisateurs. Cela peut sembler un peu fou, mais réfléchissez-y : une fois que la confiance peut circuler, l’efficacité du système dans son ensemble s’envole instantanément.

Supposons qu’un protocole ait déjà accumulé pas mal de capital de confiance, comment un nouveau protocole peut-il démarrer rapidement ? En héritant simplement des enregistrements de confiance vérifiables. Ainsi, le nouveau projet n’a pas besoin de gagner la confiance à partir de zéro, il peut s’appuyer sur les épaules de ses prédécesseurs. C’est cela, la transférabilité du capital de confiance.

Mais comment les tokens entrent-ils en jeu ? C’est simple — chaque fois qu’une validation ou un échange de confiance a lieu, des tokens sont nécessaires pour effectuer la compensation et l’enregistrement. Plus la circulation de la confiance est fréquente, plus la demande pour les tokens est grande. Avec l’expansion du marché de la confiance Web3, les tokens deviennent à la fois un outil de circulation et un moyen de stockage de valeur. Les deux moteurs de croissance avancent main dans la main.