Souvenez-vous quand on nous a vendu le rêve d’un internet ouvert ? Avance rapide vers aujourd’hui : nous sommes piégés dans un labyrinthe d’écrans de connexion, de puzzles CAPTCHA et de formulaires KYC sans fin, exigeant la preuve de notre identité.
Chaque étape en ligne ressemble à un point de contrôle. Soumettez votre pièce d’identité ici. Vérifiez votre téléphone là-bas. Prouvez que vous êtes humain encore une fois. L’ironie ? Ce web « ouvert » est devenu un jardin clos contrôlé par des gardiens qui tirent profit de nos données.
Web3 était censé résoudre cela — protocoles décentralisés, identité auto-souveraine, pas d’intermédiaires. Pourtant, même dans la crypto, les échanges demandent des documents. Les dApps nécessitent des connexions de portefeuille qui divulguent des métadonnées. Sommes-nous simplement en train d’échanger un modèle de surveillance contre un autre ?
Peut-être que la véritable liberté numérique ne concerne pas la technologie — mais notre volonté de reprendre le contrôle.
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quietly_staking
· Il y a 2h
Quand notre Internet véritablement ouvert dira-t-il adieu...
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DataChief
· Il y a 2h
La vie privée n'est déjà plus qu'une blague.
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JustHereForMemes
· Il y a 2h
Fr, on vient de passer de la prison d'entreprise à la prison Web3, lol
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rekt_but_resilient
· Il y a 2h
Démasquer la régulation capitaliste sous le faux vernis de la révolution
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FreeRider
· Il y a 2h
Je suis dépassé, je me suis encore fait manipuler par quelqu’un.
Souvenez-vous quand on nous a vendu le rêve d’un internet ouvert ? Avance rapide vers aujourd’hui : nous sommes piégés dans un labyrinthe d’écrans de connexion, de puzzles CAPTCHA et de formulaires KYC sans fin, exigeant la preuve de notre identité.
Chaque étape en ligne ressemble à un point de contrôle. Soumettez votre pièce d’identité ici. Vérifiez votre téléphone là-bas. Prouvez que vous êtes humain encore une fois. L’ironie ? Ce web « ouvert » est devenu un jardin clos contrôlé par des gardiens qui tirent profit de nos données.
Web3 était censé résoudre cela — protocoles décentralisés, identité auto-souveraine, pas d’intermédiaires. Pourtant, même dans la crypto, les échanges demandent des documents. Les dApps nécessitent des connexions de portefeuille qui divulguent des métadonnées. Sommes-nous simplement en train d’échanger un modèle de surveillance contre un autre ?
Peut-être que la véritable liberté numérique ne concerne pas la technologie — mais notre volonté de reprendre le contrôle.