Jin10 données le 28 octobre, selon le Financial Times britannique, selon de nouvelles règles qui seront publiées mardi par l'Autorité de régulation financière du Royaume-Uni, les traders qui effectuent des transactions de shorting sur les sociétés cotées au Royaume-Uni ne seront plus tenus de divulguer leur identité. Cet organisme de réglementation prévoit d'adopter une méthode de synthèse anonyme, ne publiant que le montant total des positions short pour chaque entreprise. Cet ajustement des règles découle du fait que le Royaume-Uni n'est plus soumis au cadre réglementaire de l'UE après le Brexit. L'UE exigeait auparavant que les positions short dépassant 0,5 % du capital social d'une entreprise soient divulguées publiquement, tandis que la nouvelle réglementation britannique alignera le système de réglementation sur celui des États-Unis — aux États-Unis, seule la divulgation du montant total des positions short est requise, sans révéler l'identité des détenteurs spécifiques. L'Autorité de régulation financière du Royaume-Uni propose également de lever le seuil de déclaration des positions pour les shorters, passant de 0,1 % à 0,2 % du capital social. Cette réforme est considérée comme une réponse à l'appel du gouvernement à renforcer la compétitivité économique du Royaume-Uni, et devrait être bien accueillie par le secteur des fonds spéculatifs. Cependant, la diminution de la transparence réglementaire suscite également des inquiétudes sur le marché.
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Le Royaume-Uni envisage d'annuler le système de divulgation d'identification des shorting dans le marché boursier.
Jin10 données le 28 octobre, selon le Financial Times britannique, selon de nouvelles règles qui seront publiées mardi par l'Autorité de régulation financière du Royaume-Uni, les traders qui effectuent des transactions de shorting sur les sociétés cotées au Royaume-Uni ne seront plus tenus de divulguer leur identité. Cet organisme de réglementation prévoit d'adopter une méthode de synthèse anonyme, ne publiant que le montant total des positions short pour chaque entreprise. Cet ajustement des règles découle du fait que le Royaume-Uni n'est plus soumis au cadre réglementaire de l'UE après le Brexit. L'UE exigeait auparavant que les positions short dépassant 0,5 % du capital social d'une entreprise soient divulguées publiquement, tandis que la nouvelle réglementation britannique alignera le système de réglementation sur celui des États-Unis — aux États-Unis, seule la divulgation du montant total des positions short est requise, sans révéler l'identité des détenteurs spécifiques. L'Autorité de régulation financière du Royaume-Uni propose également de lever le seuil de déclaration des positions pour les shorters, passant de 0,1 % à 0,2 % du capital social. Cette réforme est considérée comme une réponse à l'appel du gouvernement à renforcer la compétitivité économique du Royaume-Uni, et devrait être bien accueillie par le secteur des fonds spéculatifs. Cependant, la diminution de la transparence réglementaire suscite également des inquiétudes sur le marché.