NEO. Une plateforme blockchain différente. Née comme Antshares en 2014, elle s'est réinventée en 2017. L'Ethereum de la Chine ? Peut-être.

Sa vision : une économie intelligente. Actifs numériques et contrats automatiques. Ça a l'air ambitieux.

Qu'est-ce qui la rend spéciale ? Beaucoup de choses. Des contrats intelligents, bien sûr. DeFi aussi. Utilise quelque chose appelé dBFT pour être rapide. Elle a deux tokens : NEO et GAS. Curieux.

Les développeurs l'adorent. C#, Java, Python... ils peuvent utiliser ce qu'ils veulent. Et cette histoire d'interopérabilité entre chaînes... intéressant.

Identités numériques sécurisées. Un atout en ces temps.

Jetons un œil aux chiffres. 5,27 $ par jeton. Ce n'est pas mal. Classement 197. Il a connu des jours meilleurs, c'est sûr. Son maximum était de 198,38 $. Cela semble loin maintenant.

NEO continue d'évoluer. Scalabilité, interopérabilité... mots à la mode. La Fondation NEO ne se repose pas. La Chine et l'Asie sont son terrain, mais ils regardent au-delà.

Il y a de la concurrence, bien sûr. Mais NEO a ses astuces. Cette histoire d'interopérabilité... pourrait être la clé. Les entreprises et les développeurs la regardent avec intérêt.

L'avenir ? Qui sait. Mais NEO est dans le jeu. Et il ne semble pas qu'il va se rendre facilement.