Mise à l’échelle verticale et horizontale : choix architectural
Dans le contexte de la conception de systèmes distribués, il existe deux stratégies fondamentales pour l'évolutivité de l'infrastructure informatique. L'évolutivité verticale implique l'augmentation de la puissance d'une machine individuelle en installant des composants et des ressources plus performants. L'évolutivité horizontale repose sur l'ajout de nœuds de calcul supplémentaires dans le réseau, en répartissant la charge entre de nombreuses machines. La différence fondamentale réside dans le fait que l'évolutivité verticale est confrontée à des limites physiques des appareils individuels, tandis que l'évolutivité horizontale n'a théoriquement pas de limite supérieure. L'architecture réseau Lagrange ($LA) représente une mise en œuvre de référence des principes de l'évolutivité horizontale.
Scalabilité illimitée grâce à la décentralisation
Le réseau Lagrange diffère fondamentalement du concept de "superordinateur" centralisé. C'est un protocole décentralisé permettant à tout participant à l'échelle mondiale de fournir ses ressources de calcul en tant que "preuve" (prover). Avec l'augmentation de la demande de génération de preuves ZK, par exemple avec un doublement des requêtes, le réseau s'adapte automatiquement en attirant des proveurs supplémentaires, qui sont incités par les commissions du réseau. Cette architecture à accès ouvert et à mise à l'échelle horizontale assure la préparation technique du réseau Lagrange à traiter l'ensemble du spectre des futures tâches de calcul dans l'écosystème Web3 – des solutions rollup aux applications d'intelligence artificielle – sans créer de goulets d'étranglement ni de limitations de performance.
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Réaliser un véritable scale-out dans le réseau de Lagrange pour les épreuves ZK
Mise à l’échelle verticale et horizontale : choix architectural
Dans le contexte de la conception de systèmes distribués, il existe deux stratégies fondamentales pour l'évolutivité de l'infrastructure informatique. L'évolutivité verticale implique l'augmentation de la puissance d'une machine individuelle en installant des composants et des ressources plus performants. L'évolutivité horizontale repose sur l'ajout de nœuds de calcul supplémentaires dans le réseau, en répartissant la charge entre de nombreuses machines. La différence fondamentale réside dans le fait que l'évolutivité verticale est confrontée à des limites physiques des appareils individuels, tandis que l'évolutivité horizontale n'a théoriquement pas de limite supérieure. L'architecture réseau Lagrange ($LA) représente une mise en œuvre de référence des principes de l'évolutivité horizontale.
Scalabilité illimitée grâce à la décentralisation
Le réseau Lagrange diffère fondamentalement du concept de "superordinateur" centralisé. C'est un protocole décentralisé permettant à tout participant à l'échelle mondiale de fournir ses ressources de calcul en tant que "preuve" (prover). Avec l'augmentation de la demande de génération de preuves ZK, par exemple avec un doublement des requêtes, le réseau s'adapte automatiquement en attirant des proveurs supplémentaires, qui sont incités par les commissions du réseau. Cette architecture à accès ouvert et à mise à l'échelle horizontale assure la préparation technique du réseau Lagrange à traiter l'ensemble du spectre des futures tâches de calcul dans l'écosystème Web3 – des solutions rollup aux applications d'intelligence artificielle – sans créer de goulets d'étranglement ni de limitations de performance.
#lagrange #la