Le site d'information BiJie a rapporté que TSL (TSLA.O) a été accusé vendredi dans un procès d'avoir favorisé les titulaires de visa dans ses décisions d'embauche, au détriment des citoyens américains, afin de payer des salaires plus bas. Selon une proposition de recours collectif déposée devant le tribunal fédéral de San Francisco, TSL aurait "systématiquement privilégié l'embauche" de titulaires de visa et aurait licencié les citoyens américains à un rythme disproportionné, violant ainsi la loi fédérale sur les droits civils. La plainte affirme que TSL s'est appuyé sur des titulaires de visa H-1B, par exemple en 2024, l'entreprise a embauché environ 1355 titulaires de visa tout en licenciant plus de 6000 employés aux États-Unis, dont "la grande majorité" seraient des citoyens américains. Le recours collectif vise à indemniser tous les citoyens américains qui ont postulé pour un poste chez TSL aux États-Unis mais n'ont pas été retenus, ou qui ont été licenciés après avoir travaillé chez TSL.
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