Récemment, le secrétaire au Trésor américain a annoncé une nouvelle importante. Il semble que le conseiller économique de la Maison Blanche, Stephen Milan, devrait prendre ses fonctions avant la Réunion du Comité fédéral de l'open market (FOMC) du 17 septembre. Cette nouvelle a suscité un large intérêt, car Milan est le candidat proposé par le gouvernement Biden pour le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale.
Le comité bancaire du Sénat est en train de voter sur la nomination de Milan. S'il est approuvé, Milan aura la possibilité de participer au vote lors des discussions de la Réserve fédérale sur une éventuelle décision de baisse des taux d'intérêt, ce qui aura sans aucun doute un impact important sur l'évolution future des taux d'intérêt aux États-Unis.
Actuellement, le marché de l'emploi aux États-Unis se porte mal, et le marché s'attend généralement à ce que la Réserve fédérale (FED) envisage une baisse des taux d'intérêt. Dans ce contexte, si Milan peut prendre ses fonctions à temps, ce serait sans aucun doute une bonne nouvelle pour l'administration Biden.
Cependant, la nomination de Milan a également suscité des interrogations. Bien qu'il ait déclaré qu'il maintiendrait l'indépendance de la Réserve fédérale, en tant que candidat venant de la Maison Blanche, il reste à voir s'il pourra vraiment garder une position neutre.
Certaines opinions estiment que cela pourrait être une stratégie du gouvernement pour influencer les décisions de la Réserve fédérale, ouvrant la voie à de potentielles baisses de taux d'intérêt ou à des réformes plus profondes. Surtout, étant donné que le secrétaire au Trésor a précédemment appelé à une "examen complet de la Réserve fédérale", cette action semble suggérer un plus grand pouvoir d'influence du gouvernement sur la politique monétaire.
Avec l'évolution de cette situation, tous les acteurs du marché financier suivent de près le déroulement des événements et les impacts potentiels sur les futures politiques économiques et l'orientation du marché.
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MetaMaximalist
· Il y a 6h
tellement prévisible... l'indépendance de la Fed a toujours été une illusion, pour être honnête
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HodlNerd
· Il y a 9h
hmm... la théorie des jeux suggère que l'indépendance de la Fed pourrait être purement théorique à ce stade, pour être honnête.
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¯\_(ツ)_/¯
· Il y a 9h
Les taux d'intérêt devraient baisser, achetez, achetez, achetez
Récemment, le secrétaire au Trésor américain a annoncé une nouvelle importante. Il semble que le conseiller économique de la Maison Blanche, Stephen Milan, devrait prendre ses fonctions avant la Réunion du Comité fédéral de l'open market (FOMC) du 17 septembre. Cette nouvelle a suscité un large intérêt, car Milan est le candidat proposé par le gouvernement Biden pour le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale.
Le comité bancaire du Sénat est en train de voter sur la nomination de Milan. S'il est approuvé, Milan aura la possibilité de participer au vote lors des discussions de la Réserve fédérale sur une éventuelle décision de baisse des taux d'intérêt, ce qui aura sans aucun doute un impact important sur l'évolution future des taux d'intérêt aux États-Unis.
Actuellement, le marché de l'emploi aux États-Unis se porte mal, et le marché s'attend généralement à ce que la Réserve fédérale (FED) envisage une baisse des taux d'intérêt. Dans ce contexte, si Milan peut prendre ses fonctions à temps, ce serait sans aucun doute une bonne nouvelle pour l'administration Biden.
Cependant, la nomination de Milan a également suscité des interrogations. Bien qu'il ait déclaré qu'il maintiendrait l'indépendance de la Réserve fédérale, en tant que candidat venant de la Maison Blanche, il reste à voir s'il pourra vraiment garder une position neutre.
Certaines opinions estiment que cela pourrait être une stratégie du gouvernement pour influencer les décisions de la Réserve fédérale, ouvrant la voie à de potentielles baisses de taux d'intérêt ou à des réformes plus profondes. Surtout, étant donné que le secrétaire au Trésor a précédemment appelé à une "examen complet de la Réserve fédérale", cette action semble suggérer un plus grand pouvoir d'influence du gouvernement sur la politique monétaire.
Avec l'évolution de cette situation, tous les acteurs du marché financier suivent de près le déroulement des événements et les impacts potentiels sur les futures politiques économiques et l'orientation du marché.