Récemment, plusieurs sources ont indiqué que les données sur l'emploi non agricole aux États-Unis pourraient être considérablement surestimées, ce qui a suscité des débats sur l'orientation de la politique monétaire de la Réserve fédérale.
Le gouverneur de la Réserve fédérale, Waller, a déclaré que la révision annuelle du chiffre des emplois non agricoles pourrait être d'environ -720 000. Le secrétaire au Trésor américain a également mentionné que la révision des données d'emploi pour 2024 pourrait être réduite de 800 000 postes. Ces déclarations officielles ont établi une base pour les attentes du marché.
Plus long institutions financières ont également exprimé leurs points de vue. Nomura Securities prévoit que la révision annuelle de la référence des emplois non agricoles sera réduite de 600 000 à 900 000 postes, avec une baisse moyenne de la croissance mensuelle des emplois de 50 000 à 75 000. La banque internationale néerlandaise estime qu'avant l'été prochain, la Réserve fédérale pourrait entrer dans un cycle d'assouplissement de 150 points de base.
La Standard Chartered Bank a indiqué que cette révision pourrait entraîner une réduction ponctuelle de 550 000 à 800 000 postes, ce qui pourrait soutenir la décision de réduire les taux d'intérêt de 50 points de base en septembre. Cependant, ils ont également averti que l'inflation persistante et l'assouplissement budgétaire pourraient limiter la marge de manœuvre pour d'autres baisses de taux après septembre.
Le modèle de recherche interne de Goldman Sachs montre que l'emploi mensuel est en moyenne surestimé d'environ 45 000 postes, ce qui équivaut à une augmentation fictive de 550 000 à 800 000 postes sur une année. Les prévisions de Bank of America et de la Banque Royale du Canada sont encore plus agressives, car elles s'attendent à ce que la révision annuelle des données de l'emploi non agricole soit abaissée de près d'un million de postes.
Ces données et prévisions apportent sans aucun doute de nouveaux défis à la prise de décision de la politique monétaire de la Réserve fédérale. Le marché considère généralement qu'une baisse des taux d'intérêt est devenue un événement très probable, la clé résidant dans le choix du moment et de l'ampleur. Certaines analyses estiment qu'une baisse de 50 points de base n'est pas impossible.
Cependant, il convient de noter que, bien que les données sur l'emploi puissent être révisées à la baisse, le taux de chômage pourrait ne pas être significativement affecté. Cela signifie que la Réserve fédérale devra toujours peser plusieurs facteurs lors de l'élaboration de sa politique.
Avec l'approche de la révision des données sur l'emploi non agricole, le marché sera attentif à la réaction de la Réserve fédérale et à l'évolution de sa politique. Pour les investisseurs, c'est sans aucun doute un moment important à surveiller de près, qui pourrait avoir un impact profond sur le pricing des différentes classes d'actifs.
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HalfIsEmpty
· Il y a 19h
La falsification des données est de retour.
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PonziDetector
· Il y a 20h
On joue encore avec des données gonflées, n'est-ce pas ?
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GasFeeCrybaby
· Il y a 20h
Le taux d'emploi est une blague.
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FloorSweeper
· Il y a 20h
des bulls faibles sur le point de se faire rékt... la saison d'accumulation arrive
Récemment, plusieurs sources ont indiqué que les données sur l'emploi non agricole aux États-Unis pourraient être considérablement surestimées, ce qui a suscité des débats sur l'orientation de la politique monétaire de la Réserve fédérale.
Le gouverneur de la Réserve fédérale, Waller, a déclaré que la révision annuelle du chiffre des emplois non agricoles pourrait être d'environ -720 000. Le secrétaire au Trésor américain a également mentionné que la révision des données d'emploi pour 2024 pourrait être réduite de 800 000 postes. Ces déclarations officielles ont établi une base pour les attentes du marché.
Plus long institutions financières ont également exprimé leurs points de vue. Nomura Securities prévoit que la révision annuelle de la référence des emplois non agricoles sera réduite de 600 000 à 900 000 postes, avec une baisse moyenne de la croissance mensuelle des emplois de 50 000 à 75 000. La banque internationale néerlandaise estime qu'avant l'été prochain, la Réserve fédérale pourrait entrer dans un cycle d'assouplissement de 150 points de base.
La Standard Chartered Bank a indiqué que cette révision pourrait entraîner une réduction ponctuelle de 550 000 à 800 000 postes, ce qui pourrait soutenir la décision de réduire les taux d'intérêt de 50 points de base en septembre. Cependant, ils ont également averti que l'inflation persistante et l'assouplissement budgétaire pourraient limiter la marge de manœuvre pour d'autres baisses de taux après septembre.
Le modèle de recherche interne de Goldman Sachs montre que l'emploi mensuel est en moyenne surestimé d'environ 45 000 postes, ce qui équivaut à une augmentation fictive de 550 000 à 800 000 postes sur une année. Les prévisions de Bank of America et de la Banque Royale du Canada sont encore plus agressives, car elles s'attendent à ce que la révision annuelle des données de l'emploi non agricole soit abaissée de près d'un million de postes.
Ces données et prévisions apportent sans aucun doute de nouveaux défis à la prise de décision de la politique monétaire de la Réserve fédérale. Le marché considère généralement qu'une baisse des taux d'intérêt est devenue un événement très probable, la clé résidant dans le choix du moment et de l'ampleur. Certaines analyses estiment qu'une baisse de 50 points de base n'est pas impossible.
Cependant, il convient de noter que, bien que les données sur l'emploi puissent être révisées à la baisse, le taux de chômage pourrait ne pas être significativement affecté. Cela signifie que la Réserve fédérale devra toujours peser plusieurs facteurs lors de l'élaboration de sa politique.
Avec l'approche de la révision des données sur l'emploi non agricole, le marché sera attentif à la réaction de la Réserve fédérale et à l'évolution de sa politique. Pour les investisseurs, c'est sans aucun doute un moment important à surveiller de près, qui pourrait avoir un impact profond sur le pricing des différentes classes d'actifs.